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T.L.

Un tour de.. BAKU.


FORMULA.

Très jeune dans l'histoire de la discipline, le Circuit Urbain de Bakou s'est pourtant déjà chargé d'histoire, et s'est installé comme une manche inévitable dans une saison. Bien que son tracé divise, il n'en reste pas moins atypique, et intéressant en de nombreux points. Mais ce qui a contribué à la réussite de ce tracé, ce sont les événements qu'il a accueilli. Hormis la course d'ouverture, en 2016, comptant pour le Grand-Prix d'Europe, toutes les autres éditions ont été pleines de surprises, et de rebondissements. Avec quatre vainqueurs en autant d'éditions, ça donne le ton..

Mesdames et Messieurs, je vous propose donc de partir avec moi pour un tour historique du circuit de Bakou. Baku. Comme vous voulez.

2016.

En 2016, la Circuit Urbain de Bakou débarque au calendrier, en nous proposant un tracé urbain très rapide, mais très technique.

C'est en plein cœur de la vieille ville qu'est mis en place le tracé. On emprunte l'une des artères principale de la ville, pus l'on revient vers le centre historique, on contourne le château, et on revient sur la grande route. Il y a deux secteurs véritablement important sur ce tracé : la ligne droite, étant la plus longue du calendrier, où les pilotes atteignent les records de vitesse, et le "coupe-gorge" du château, un enchaînement des virages 8, 9 et 10, dans un espace plus que restreint.

C'est d'ailleurs sur cette ligne droite qu'est établit le record de vitesse d'une Formule 1, bien que ce dernier ne soit pas officialisé par la FIA. C'est Valtteri Bottas, à bord de sa Williams, qui atteint la vitesse hallucinante de 378km/h. Outre cet exploit, c'est Sergio Perez qui est mis en avant, en obtenant une 3e place, au terme d'une course splendide du Mexicain. Deux événements qui sont venus nous réveiller dans un Grand-Prix relativement ennuyant..

DEPUIS 2017.

Dès 2017, l’appellation du Grand-Prix change, et le terme Europe est remplacé par le pays hôte, l'Azerbaïdjan.

Et allez savoir si c'est un hasard ou non, mais depuis que l'événement s'appelle ainsi, toutes ses courses se sont avérées passionnantes, remplies de rebondissements et d'images les plus impressionnantes les unes que les autres. On se souvient par exemple tous du coup de volant de Sebastian Vettel sur Lewis Hamilton, alors que la Safety-Car était sortie, ou l'incroyable Grosjeannerie de notre Romain National, et même plus récemment l'image hallucinante d'une plaque d’égout qui vient exploser le fond plat de la Williams de Georges Russell, avant que le camion de dépannage ne se retrouve bloqué sous une passerelle.

Il s'en est passé des choses en 4 ans.. Et je ne peux que vous conseiller de vous replonger dans les Grand-Prix 2017 et 2018. Nul doute que cette année aurait été aussi intéressante. Peut être qu'un pilote serait venu, comme Lance Stroll en 2017, inscrire un podium impensable. Le Canadien est d'ailleurs le deuxième plus jeune pilote à monter sur un podium. Il partage également le record de la position la plus lointaine au départ avant un podium, avec Sergio Perez, les deux hommes s'étant élancés de la 8e position.

Quelques chiffres !

https://www.facebook.com/CharlesMilesiRacing/photos/a.142213559702849/406370399953829/?type=1&theater

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